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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 22:22

Journal n°9-1

 

EXIGEONS LE RESPECT DE TOUS

AU SERVICE DE L’INTÉRÊT GÉNÉRAL !

 

Après des années de rebondissements électoraux, nous aspirons tous à la stabilité de notre ville. Nous espérions que les fruits de la démocratie portent sur un devenir meilleur de notre ville grâce à un esprit constructif. Malheureusement il n’en est rien !

 

Nous observons une ville qui se replie sur elle-même. Toutes nos fiertés Corbeil-Essonnoises sont mises à mal : attaques contre le monde culturel, abandon du monde associatif, urbanisation à outrance.

 

Les élus socialistes de la ville de Corbeil-Essonnes tentent de raisonner la Droite dans ses projets, de manière constructive, pour les rendre plus attractifs, en lien avec vos attentes.

 

Mais la majorité municipale se heurte sans cesse à ses vieux démons : une ville qui ne respecte pas les principes démocratiques et se moque de toutes propositions pouvant contribuer à l’intérêt général !

 

Il suffit de venir en Conseil municipal pour mesurer le déni de M. Bechter et de son équipe dès que l’opposition socialiste fait des propositions !

 

Le Maire a bon rôle de se targuer d’être à l’écoute de ses concitoyens, de concerter. C’est faux ! Toutes les associations de quartiers vous le diront, M. Bechter, quand il daigne les recevoir, ce qui est un fait EXCEPTIONNEL, ne sont pas écoutées, alors qu’elles sont l’essence de notre ville.

 

Nous tenons ici à rétablir une vérité. Dans le dernier numéro du Bien vivre à Corbeil-Essonnes, un élu socialiste est ouvertement attaqué. Président d’une association de quartier, cet élu a tout fait pour que les projets urbanistiques de notre ville soient réalisés en conformité avec le code de l’urbanisme et dans une dimension à taille humaine.

 

  • SANS SON ENGAGEMENT et celui de ses collègues socialistes, le PROJET LA PROUE serait beaucoup plus dense que le projet actuel ;
  • SANS SON ENGAGEMENT et celui de ses collègues socialistes, le quartier du Bas Coudray resterait sans visage, aux mains des promoteurs ;
  • SANS SON ENGAGEMENT et celui de ses collègues socialistes, nous verrions naître partout dans notre ville des immeubles entassés comme ceux rue de la Papeterie, Bd Henri Dunant, Bd John Kennedy et demain Montagne des Glaises.

 

Que M. Bechter regrette que des élus et des habitants des quartiers se mobilisent pour sauver leur patrimoine et leur territoire en respectant la loi, est consternant !

 

Est-ce ainsi qu’un Maire doit se comporter ? Ignorer la loi, ignorer les recommandations, refuser de défendre l’intérêt général pour un intérêt particulier ? Il se doit d’être le garant du respect équitable de ses administrés.

 

Les Conseils de quartiers étant inexistants, les associations ont pleinement leur rôle dans le dialogue dans notre ville ! Ne les bafouons pas sous prétexte qu’elles ne sont pas en ligne avec la majorité municipale en place !

 

 

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QUAND LA MAJORITÉ MUNICIPALE INSULTE LES ÉLUS ET PERD SON SANG FROID

 

Pas un Conseil municipal ne se passe de manière sereine. C’est à celui dans la majorité qui humiliera le plus ses opposants.

 

Il se peut que M. Bechter soit un fan des Westerns : nous sommes amenés à compter les balles perdus. Comme si cela grandissait le rôle de notre Maire et de sa majorité.

 

Nous souhaitons participer et vivre des moments démocratiques normaux ! Nous avons de véritables différences dans nos points de vue entre la majorité et l’opposition socialiste. Mais la caricature pour éviter les débats n’est pas la bienvenue. Confrontons nos propositions et apportons si possible une convergence pour l’intérêt général !!!!!

 

·         Il faut que M. Bechter cesse de confondre la gestion d’une ville avec la gestion d’actionnaires !

·         Il faut que les votes soient effectivement soumis au vote, sans que M. Bechter décide de qui vote quoi !

·         Il faut que l’opposition puisse s’exprimer sans être insultée !

·         Il faut rétablir une discussion dans les commissions municipales ! Et que lorsque celles-ci s’opposent, il faut réellement en tenir compte !

·         Il faut que la majorité se décide à être à l’écoute de tous !

 

Malheureusement, cette attitude dramatique se reproduit ailleurs. Lors du dernier Conseil communautaire de l’agglomération, M. Bechter s’est violemment emporté contre des élus sans raison apparente.

 

Il faut que M. Bechter retrouve son calme, même quand s’exprime un avis divergent du sien !

 

Mais peut-être faudrait-il commencer par ses propres troupes, quand nous savons que des élus de sa majorité s’insultent entre eux !

 


 

QUAND LES SOCIALISTES PORTENT LA DÉMOCRATIE RÉPUBLICAINE !

 

Les Socialistes ont engagé une large concertation populaire pour désigner la ou le candidat à élection présidentielle. Il suffira d’être inscrit sur les listes électorales pour se prononcer les 9 et 16 octobre prochains lors des primaires. Vous pouvez trouver tous les renseignements sur le site : www.lesprimairescitoyennes.fr

 

Nous continuerons de venir à votre rencontre, pour que le peuple de Gauche choisisse le candidat socialiste. Les socialistes s’appliquent depuis de nombreux mois dans la préparation de cette échéance majeure pour que 2012 soit l’année du Renouveau, pour que cesse les invectives, le repli sur soi, la stigmatisation des autres, afin de porter le Vivre Ensemble, le dialogue.

 

Tout ce que l’UMP refuse d’être, à la fois Démocrate et Républicaine aussi bien au niveau national que local !

 

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 18:58

Journal n°8-1

 

La culture pour tous !

 

Ces derniers mois, l’actualité culturelle de notre ville a été dominée par de bien tristes nouvelles :
- l’Ecole Départementale de Théâtre chassée de Corbeil-Essonnes,

- la chute vertigineuse des subventions municipales au monde associatif,
- le cinéma Arcel au bord de la fermeture,
- le Conservatoire en sursis, des équipements - MJC, bibliothèques - abandonnés …

au-delà de la liste à la Prévert, elles illustrent le dangereux tournant de la politique culturelle de l’équipe de J.P. Bechter.


La droite se vante de mettre la culture au centre de ses priorités ? Parlons-en !


L’écart entre le discours et les actes devient inquiétant et démontre que la majorité municipale n’est pas pour la «Culture pour tous». C’est la tragique réalité qui touche notre ville de plein fouet :

 

> Quand la seule stratégie de J.P. Bechter, c’est le repli alors que la politique culturelle devrait tisser le lien social, il y a de quoi s’inquiéter.


> Quand le seul talent de nos élus de droite est de trouver des solutions hâtives, uniquement parce qu’ils ont peur des pétitions et de faire la une du journal, il y a de quoi s’interroger.


La mise en difficulté de nos équipements culturels, la braderie de notre patrimoine, l’abandon d’une grande politique de rayonnement culturel intercommunal, la fragilisation des associations, la suppression des lieux d’expression et d’enseignement artistique.


Comment ne pas voir le tour de passe-passe de la droite qui, après avoir oublié les artistes, puis les enseignants, en oublie définitivement les citoyens ?

 

Comment accepter que les moyens consacrés à la culture soient sérieusement amputés ?

 

L’enjeu est trop important. Et il l’est encore plus en cette période de crise économique et sociale.

 

Il faut soutenir tout ce qui contribue au vivreensemble, aux échanges, à la création culturelle et artistique pour le plus grand nombre, pour tous.

 

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Politikafé :
Quel avenir pour
la culture ?
Le mardi 7 juin à 20H30
35 bis rue Feray à Corbeil-Essonnes
Débat animé
par Vincent EDIN
avec la participation de
Sylvie ROBERT,
Secrétaire nationale PS à la Culture
Philippe COUDRAY,
Rédacteur du rapport sur la Culture
pour la région Ile de France
Daniel RAMIRE, philosophe.
Venez participer !

 

La culture dans le projet socialiste pour 2012 :
l’ambition d’une sociétécréative

 
Un projet socialiste ne se conçoit pas sans une place centrale pour la culture. C’est d’autant plus nécessaire qu’après 10 ans de gouvernements de droite, la politique culturelle est en déshérence. Nous, nous voulons bâtir une société créative.


La création culturelle et artistique est à la fois le mouvement de la société et le patrimoine laissé aux générations futures.


> Nous garantirons la liberté de création.


> Nous ferons de l’éducation artistique et culturelle une priorité en nous appuyant sur l’expérimentation territoriale.


> Nous ferons de l’espace public - dans les villes ou les villages - un lieu privilégié de diffusion et d’échanges culturels.


> Nous accompagnerons la construction de nouveaux lieux de création, de répétition et de diffusion.


> Nous soutiendrons l’emploi culturel et artistique pour passer d’une logique «d’emplois aidés» à une logique d’aide à l’emploi.


> Nous proposerons de nouveaux modèles économiques d’intervention en faveur de la création, par exemple par l’élargissement au spectacle vivant des mécanismes du CNC, alors qu’ils sont aujourd’hui réservés au cinéma.


> Nous favoriserons les structures relavant de l’économie sociale et solidaire.


> Nous nous engagerons pour que la culture soit au coeur des politiques publiques européennes.


> Nous engagerons une véritable politique du patrimoine.

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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 15:38

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+ d’impôts - d’écoles !

 

Après des années de mobilisation des parents d’élèves et des élus socialistes, l’équipe de J.P. Bechter a enfin accepté de lancer la rénovation de quelques écoles et une nouvelle maternelle Pasteur devrait voir le jour.

 

ll était temps ! Quand on sait que le Conseil général et le Conseil régional ont déjà versé à la Mairie les subventions qui couvrent jusqu’à 70% des travaux pour nos écoles ! Mais en réalité qu’en est-il des établissements que la majorité actuelle se vante de «rénover» ?

- A Pablo Picasso, aucune sécurisation des accès pour les piétons,

- A Montagne des Glaises, absence totale de plan de sécurité incendie,

- A Langevin les fenêtres sont tellement vétustes qu’on n’ose même plus les ouvrir,

- A Jules Ferry comme à Pasteur les toilettes sont bouchées, et la moitié d’entre elles sont systématiquement inutilisables,

On ne compte plus les classes sans chauffage en plein hiver, les fenêtres qui risquent de tomber sur nos enfants, les cours de récréation parsemées de trous, les toitures tellement abîmées que les infiltrations d’eau se multiplient, les fissures dans les murs, les jeux pour les maternelles hors normes de sécurité…

Que dire du matériel pédagogique insuffisant et non renouvelé, des sorties pédagogiques de moins en moins fréquentes ?

Que dire des classes surchargées ? On construit du logement sans pour autant construire les infrastructures nécessaires. Dans cette affaire, la municipalité fait preuve d’une incroyable légèreté et d’une totale incompétence.

Que dire des malfaçons déjà constatées ? Alors que les travaux débutent à peine, les erreurs s’accumulent. La facture est d’ores et déjà plus élevée que celle prévue au départ. De l’aveu même d’un élu de la majorité, ce n’est pas fini !

La municipalité a beau lancer les chantiers en grande pompe et d’en faire la propagande dans son magazine avec de magnifiques photos…de maquettes, la réalité est là !

Les parents, eux, ne s’y trompent pas, confrontés chaque jour aux mêmes difficultés.

Qui n’a pas vu son enfant épuisé par le brouhaha d’une classe surchargée et non insonorisée, qui n’a pas vu son petit avec un mal de ventre, obligé de se retenir car les

toilettes ne fonctionnent pas ? Qui n’a pas récupéré son enfant en nage en plein été parce que les fenêtres sont bloquées ? Qui n’a pas ramené des feuilles, des crayons parce qu’il n’y pas assez de matériel ?

Quand on voit l’allure à laquelle notre Maire fait pousser les immeubles, on se dit qu’il ferait bien d’en faire autant pour nos écoles !

 

 

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Suppression des postes d’enseignants

 

Appliquant aveuglément sa logique comptable du non remplacement d’1 fonctionnaire sur 2, la droite a supprimé ces 4 dernières années, 46 000 postes d’enseignants. Pour la rentrée 2011, elle prévoit d’en supprimer 16 000 supplémentaires en France.

 

En Essonne, cela signifie 85 postes d’enseignants en moins alors même que les effectifs aux collèges et lycées progressent de 625 élèves.

 

Cela va entraîner la disparition d’un grand nombre de cours en demiclasse, indispensables au suivi individualisé des élèves en langues ou en sciences. Les classes atteignent ou dépassent déjà les 30 élèves au collège et les 35 élèves au lycée. Au primaire, les suppressions de classe se multiplient accentuant encore la surcharge des classes qui de 28 élèvespassent à 35 et ce dès la maternelle.

 

Parmi les pays de l’OCDE, la France est dorénavant un des pays au plus faible taux d’encadrement. Alors même que l’éducation devrait être une priorité, Sarkozy-Fillon-

Chatel font exactement le contraire.

 

Avec le Conseil général de l’Essonne, dont la majorité de gauche a été renouvelée ce 27 mars, c’est :

-          40 millions d’euros d’investissement par an dans la construction, la réhabilitation et l’entretien des collèges,

-          aide massive pour aider les famille à payer les cantines,

-          le transport des collégiens,

-          une clé USB remise à chaque élève de 6ème pour lui permettre de faire le lien entre le travail en classe et le travail à la maison,

-          la mise en place du plan « réussir sa 6ème « avec un soutien aux élèves en difficulté, l’aide aux devoirs et des sessions de formation.

-           

Les socialistes, eux, se soucient du devenir des enfants et investissent pour les aider dans leur apprentissage !

 

 

La faute aux absents

 

Nous le savons, les absents ont toujours tort! J.P. Bechter et son équipe en ont fait un argument sans faille. Alors que les parents et les élus socialistes ne cessent d’alerter

l’équipe de JP. Bechter sur la dangerosité des abords de l’école Pablo Picasso, un enfant de 4 ans s’est blessé en rentrant de l’école avec son frère.

 

L’adjointe à l’Education, Mme Samira Ketfi, informée, répond sans ambiguïté :«Nous avons conscience de l’urgence de la situation»… «Je regrette que des enfants si jeunes (l’enfant de 4 ans) ne soient pas accompagnés de leurs parents».

 

Au-delà d’un manque certain de compassion, cette élue a créé la sanction «pour

l’absentéisme des parents à l’école».

 

Sachez donc, chers parents, que les dangers dans les écoles ne sont pas de la responsabilité du Maire, mais de la vôtre !

 

Rassurez vous, cela fait plus de 7 ans que les parents dénoncent les dangers : avec un

peu de chance, ce petit enfant sera enfin dans une école sécurisée d’ici le collège, sauf si les adjoints continuent leurs propositions fantasques ! 

 


 

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 08:53

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Un avenir en béton !

 

L’équilibre de notre ville est remis en cause par la politique d’urbanisation massive et anarchique de l’actuelle majorité municipale.

 

Boulevard John Kennedy, la moindre maison est rasée pour laisser place à des constructions qui s’empilent et se collent sans aucune cohérence ni unité,

 

Boulevard Henri Dunant, c’est un habitat massif qui pousse jusqu’au bord de la route, créant  déjà une inquiétude sur les risques de pollution,

 

Montagne des Glaises, un projet démesuré de résidences doit voir le jour sur le seul espace vert du quartier,

 

La Papeterie, c’est la frénésie du bétonnage sur un site pollué… la bonne affaire pour la Mairie et le promoteur chanceux.

 

Qui n’a pas vu fleurir ces pancartes « ici, demain, construction de 60 logements » ? Qui n’a pas vu le ballet des grues au-dessus de nos têtes ? Qui n’est pas inquiété dès que son voisin vend sa maison ?

 

Trop d’habitants sont victimes : des habitations criblées de fissures, des habitants qui ne voient plus le soleil à cause des immenses façades, des jardins jonchés de gravats et de plaques de béton.

 

Trop d’habitants sont lésés, enclavés dans des programmes immobiliers, dans l’impossibilité de vendre leurs biens, des pavillons qui ne valent plus rien §

 

Et ce n’est pas fini, le pire est à venir.

 

Le Plan local d’Urbanisme va être « revu et corrigé ». En clair, M. DANTU, Maire adjoint à l’Urbanisme et ses amis vont rendre la moindre parcelle encore plus constructible !

 

Et comment peut-on croire un seul instant que nos consultations feront le poids face aux projets immobiliers déjà lancés ? Comment penser que M. DANTU ne fera pas une fois encore des promesses qu'il ne tiendra pas !

 

Il nous promet de préserver notre territoire ? Au contraire, il y aura de graves conséquences : disparition de nos espaces verts, embouteillages et pollution sur des axes déjà saturés.

 

Corbeil-Essonnes n’a pas besoin de croître démesurément et de façon si inhumaine. Corbeil-Essonnes a besoin de retrouver cohérence et unité. Corbeil-Essonnes doit respirer.            

 

Cela suppose de voir à long terme et non de faire un calcul à la petite semaine juste pour servir ses amis promoteurs – vous avez remarqué comme c’est étonnant le hasard, c’est toujours les mêmes qui raflent les marchés !

 

 

Face à l’asphyxie de notre ville, n’importe quel élu qui aurait du bons sens, aurait revu sa copie. A Corbeil-Essonnes, non. L’adjoint à l’Urbanisme préfère accorder les permis de démolir pour que ses amis les promoteurs nous construisent… un avenir en béton.

 

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Faites sauter les bouchons !

 

Depuis des années, les bouchons sur cette ville font perde des nombreuses heures aux Corbeil-Essonnois. Le trafic est déjà pénible, la multiplication des bouchons, à n’importe quelle heure de la journée, devient franchement invivable. C’est bien simple, pour regagner son domicile ou aller au travail on a le choix : soit de rester coincé du Lycée jusqu’à l’Ermitage, soit de stagner sur le pont pour rejoindre la rive droite. Remarquez, dans les bouchons on a le temps d’admirer le paysage et de s’émerveiller à la vue de toutes ces constructions qui poussent, de toutes ses grues, de tous ces quartiers défigurés !

Dans les bouchons, on prend le temps de respirer de plus en plus de… gaz de pot d’échappement et d’apprécier la douce mélodie des… klaxons.

 

Et bien ce n’est pas fini ! Grâce à tous les projets immobiliers sur la ville, et sans aucun nouvel aménagement routier, la ville sera encore plus bouchonnée et plus polluée.

 

Et notre maire adjoint à l’Urbanisme et aux Travaux qui a dû laisser ses projets d’aménagement dans les cartons !

 

Il a bien tenté de suggérer aux Corbeil-Essonnois d’utiliser plus souvent les transports en commun, mais il doit certainement ignorer que les bus roulent sur les mêmes axes routiers - déjà saturés – que ceux empruntés par les voitures !


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Pour un cadre de vie préservé ?  C’est mal parti !

 

Nous serons prochainement « consultés » pour la révision du Plan Local d’Urbanisme, pour « protéger nos patrimoines et préserver notre territoire » claironnent les élus de la majorité.

 

C’est vrai, le devoir d’une équipe municipale c’est de porter des projets d’avenir qui demeurent fidèles à l’identité de la ville. Ce n’est malheureusement pas le cas de la politique actuelle :

On nous jurait développement durable : il se résume au fleurissement des ronds points,

On nous promettait de la convivialité et de l’animation : les places et les lieux de vie sont désespérément vides,

On nous promettait la sécurité : les actes d’incivilités, de délinquance et de violence se multiplient et la police de proximité disparaît,

On nous assurait de la propreté : nos rues et nos trottoirs sont jalonnés de détritus, de gravats, nos parcs sont délaissés, les tags à peine retirés,

On nous vantait le bien vivre ensemble : des quartiers sont totalement abandonnés, les jeux d’enfants non entretenus, les commerces de proximité disparaissent, l’urbanisme massif nous étouffe,

On nous louait la préservation du patrimoine : notre cœur de ville est menacé, les anciennes bâtisses démolies au profit d’un habitat trop dense, sans aucune cohérence esthétique ou architecturale.

 

Le constat est effarant! Aucune de ces promesses n'a été tenue.

 

Il faut nous opposer au PLU de Messieurs Bechter et Dantu pour proposer un véritable cadre de vie qui respecte chaque Corbeil-Essonnois, pour proposer des espaces pour respirer, des espaces pour se divertir, des lieux de rencontres, pour ne pas survivre dans une ville grise de béton et de voitures !

 

 

 

 

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21 février 2011 1 21 /02 /février /2011 20:54

Journal n°5-1

 

Liquidation de l’école départementale de théâtre : pour M. BECHTER et les ÉLUS DE l'AGGLOMERATION, la culture ne sert à rien !

 

En mai, ce sera fini. L'École Départementale de Théâtre (EDT) sera chassée de Corbeil-Essonnes !

 

Le 13 mars, M. Bechter demande à l’école de quitter les lieux (installée au théâtre de Corbeil), au plus tard le 31 mai, en raison de travaux dans le bâtiment. Face à l’absence de proposition de remplacement, le directeur de l'EDT, a expédié le 13 janvier dernier à M. Fritz, maire adjoint chargé de la culture et au directeur des affaires culturelles de Corbeil-Essonnes, un courrier demandant de rester un ou deux mois supplémentaires dans les locaux afin d’opérer une transition en douceur, sans pénaliser les élèves. A ce jour, M. Fritz n’a toujours pas répondu ni au directeur de l’EDT, ni à plus de 50 courriers rédigés par les élèves, anciens élèves, parents, intervenants, artistes et spectateurs. 

 

L’EDT financée par le Conseil général et le Conseil régional, tous deux dirigés par les socialistes, a fait un travail remarquable en formant des jeunes, mais aussi en intervenant dans les collèges de notre agglomération et de notre département.

 

Ainsi, l'un des derniers fleurons culturels de la ville est liquidé sur l'autel d'une politique qui semble désormais se concentrer sur la construction massive de logements, sans créer de lieux de vies et de rencontres.

 

L'objectif n'est évidemment pas de faire des économies car l'agglomération dirigée par M. Bechter se contentait jusqu'à maintenant de laisser à la disposition de l'école de théâtre des locaux dont la municipalité avait hérité de ses prédécesseurs de gauche.

 

Non, l'objectif est bien de liquider une politique culturelle qui dérange les responsables de droite. Qui a vu messieurs Dassault ou Bechter dans un théâtre de banlieue ces quinze dernières années ? Evidemment personne car pour ces deux-là, tout se passe à Paris ! Pour eux, la culture ne sert à rien en banlieue car la culture, c'est un truc de riches ! D’ailleurs leurs amis élus de droite qui siègent à l’agglomération pensent pareil : aucun d’eux ne s’est élevé contre le départ de l’EDT !

 

A croire que la politique culturelle se limite à fleurir la ville au printemps !

 

A chaque élection, nos élus de droite agitent le danger d'une agglomération d'Évry toute puissante. Il faudrait alors qu'ils prennent leurs responsabilités et cessent de déléguer à Evry des prérogatives qu'ils possédaient sur leur territoire ! Manuel Valls à Évry, Carlos Da Silva au Conseil général et Hatouma Doucouré avec Julien Dray au Conseil régional ont un vrai projet ambitieux de développement culturel, les responsables de droite, eux, n'en ont qu’un seul : la mort de la culture !

 

Journal n°5-2

 

Les muses chassées de Corbeil-Essonnes


La culture à Corbeil-Essonnes est maltraitée ! Elle n’a jamais été considérée comme une priorité. Aujourd’hui, les Corbeil-Essonnois voient leur dernier magasin culturel, la librairie « Le Verger des Muses » disparaître.


Souvenez-vous, lors de la restructuration du centre « Art de Vivre », la librairie « le Verger des Muses » avait déjà dû faire face à une première épreuve avec son déménagement dans la zone d’activité voisine. Malgré les difficultés, l’enseigne avait su garder le cap de la qualité et du service et s’imposer comme librairie réputée. Aujourd’hui, elle est rachetée par le groupe RES. Elle devient un bazar où le livre n’est qu’un article parmi tant d’autres. Au-delà de la disparition de son caractère culturel, il s’agit là aussi d’un drame économique avec des salariés licenciés.


Exit les librairies, les marchands d’instruments de musique et les boutiques de Beaux Arts du centre ville... la municipalité, depuis de longues années, laisse le commerce culturel disparaître et refuse de mettre place un plan de développement du commerce local, plan d’action de redynamisation économique proposé par les socialistes dans leur programme municipal.

 

Nous apportons tout notre soutien au personnel de la librairie, dont les salaires n’ont toujours pas été versés et qui vivent dans l’angoisse d’une fermeture brutale de leur entreprise.


 

Au conservatoire, Passer à la caisse pour Passer en classe supérieure

 

Le conservatoire municipal a mis en place cette année une carte d’abonnement aux concerts, afin d’encourager les enfants à assister à des spectacles. Cela semble à priori une idée louable mais cette carte contient 12 cases et chaque case rapporte ½ point, soit 6 points au maximum, qui s’ajoutent à la note de l’élève pour le passage dans la classe supérieure !

 

Quelle sera alors la valeur de l’évaluation ? Peut-on croire que tous les enfants sont égaux quant à leur possibilité de se rendre au concert ? Peut-on imaginer que chaque famille puisse accompagner leur enfant et payer chacun de ces 12 spectacles ? Ne s’agit-il pas d’une grande injustice sociale ? Doit-on « acheter » son passage dans la classe supérieure ?

 

Proposer ce système d’évaluation, c’est bafouer l’enseignement artistique que de le réduire à l’achat de place de concert ! Ce sentiment est partagé par des enseignants. C’est une honte pour notre ville !

 

Quelle politique culturelle voulons-nous? Permettre à chacun de découvrir les domaines artistiques, ou de favoriser encore plus ceux qui ont déjà cette chance ?

 

Refusons ce système, boycottons la carte, c’est le seul moyen de montrer que Corbeil-Essonnes est une ville solidaire.

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 08:27

Journal 4-1 

 

Par ici l’addition !

 

La droite nous avait déjà habitué a favoriser les plus riches en privilégiant délibérément les revenus du capital et en multipliant ses niches fiscales.

Et bien revoilà le patron de l’UMP, J.F.Copé qui, dans les colonnes du Parisien du 1er février 2011, plaide pour « une hausse de la TVA payée par tout le monde », de un point. En clair J.F. Copé propose d’augmenter la TVA de 5% !

 

C’est pourtant simple : le gouvernement de N. Sarkozy n’a plus d’argent ? Où est le problème ? Il n’y a qu’à taxer les ménages.

 

Et d’affirmer, « un point supplémentaire de TVA, ça se voit à peine ».

C’est sûr, on ne peut pas lui reprocher son raisonnement à J.F. Copé : quand on a un salaire de Ministre, que l’on cumule les indemnités dans les Conseils d’Administration, que l’on occupe plusieurs postes, notamment être Député et membre d’un cabinet d’avocat prestigieux de Paris, que l’on se fait payer ses vacances par des chefs d’Etat, qu’on se fait offrir des dîners par les plus grands patrons, un point d’augmentation, c’est quoi ??

Il est certain que ça ne se voit même pas quand on est riche ! Mais qu’en est-il des personnes aux revenus modestes ? Une hausse d’un point de TVA c’est simplement une forte perte de pouvoir d’achat, des fins de mois difficiles. Il serait encore plus dur d’aller au cinéma, d’acheter des vêtements ou même, tout simplement, de manger.

 

Et de conclure « Il y aura certes une augmentation, mais tout le monde sera gagnant ».

C’est sûr, il a encore raison. Il est évident que l’on est tous gagnant à voir le prix de l’électricité, du gaz, de l’essence augmenter et de rajouter encore une hausse à celles déjà connues.

Ce gouvernement continue de ne pas se préoccuper de chacun mais de privilégier uniquement les plus aisés.

Si l’on additionne tous les impôts, un constat s’impose : le gouvernement de N. Sarkozy favorise les plus riches.

Pour preuve, pour un revenu de 1 700 € mensuel, le taux d’imposition est de 45%, pour un revenu de 63 000 €, il est de 35%.

 

D’accord, Fillon s’est empressé de démentir - oh là, il y a les élections cantonales en mars 2011 – mais ne nous trompons pas, c’est bien J.F. Copé qui prépare la campagne de N. Sarkozy.

 

Nous voilà prévenus, après les élections cantonales, c’est nous qui paierons encore l’addition de cette politique de droite.

 

Journal 4-2

 

La diplomatie française au sommet de son art

 

Un mois.

C’est le temps qu’il aura fallu à notre gouvernement pour se mettre en évidence de la plus piètre des façons. 2010 et son lot de scandales d’Etat clôturée – les affaires Woerth, Karachi, les condamnations judiciaires à l’encontre de Brice Hortefeux – et nous voilà reparti pour un tour !

 

Alors que le Monde, médusé, observe avec un mélange d’étonnement et de bienveillance la vague de changements qui déferle depuis maintenant près d’un mois et demi sur la plupart des pays Arabes, force est de constater que la France vient de passer à côté d’un des grands rendez-vous de l’Histoire.

 

En Tunisie, en Egypte, mais aussi en Algérie, en Syrie, en Jordanie, au Yémen, dans tous ces pays, le peuple a décidé de reprendre en main sa destiné. Comme en 1789 la nation Française avait fait le choix de la souveraineté.

La plupart des gouvernements internationaux ont exprimé un appui à la volonté de ces peuples à disposer d’eux-mêmes… Mais pas la France.

Non. La France, patrie des Droits de l’Homme, fer de lance du respect des libertés fondamentales et de la démocratie a tout bonnement choisi, dans un esprit conservateur propre à nos dirigeants, d’appuyer sans vergogne des dirigeants – Ben Ali notamment – dont la population locale ne voulait plus.

 

Loin de condamner la mort de manifestants Tunisiens, Michèle Alliot-Marie a préféré proposer un appui logistique et matériel au pouvoir en place.

 

Peut-être était-elle préoccupée par une situation qui, par son instabilité, aurait gâché ses futures vacances ? Néanmoins, elle – et à sa suite tout le gouvernement – n’a pas su percevoir les enjeux de cette crise sans précédent.

Il en va de même pour François Fillon, habitué des excursions égyptiennes en compagnie des gouvernants locaux.

 

Mais alors, comment exercer une diplomatie efficiente lorsque l’on est acoquiné à ce point avec le pouvoir local ?

Notre Président de la République donne régulièrement des leçons de savoir vivre et veut se placer au-dessus de la mêlée ? Qu’il commence par donner l’exemple !

Car on en a vu des dirigeants renversés pour s’être cru trop longtemps au dessus des lois.

 

La France a besoin d’une République irréprochable !

  

  

 

Vous avez dit « népotisme » ?

 

Dans la famille Sarkozy, on connaît le père, Nicolas. En 2011 et 2012, on va adorer le fils, Jean.

 

« Nominé » à la tête du groupe UMP dans le 92, « nominé » à la tête d’un établissement public d’aménagement de la Défense (le 1er parc d’affaires d’Europe), « nominé », pour les bancs de l’assemblée nationale, Jean serait pressenti pour la présidence du Conseil général des Hauts de Seine au lendemain des élections présidentielles pour reprendre la relève de son père, Président du Conseil général de 2004 à 2007.

 

Dans notre département aussi nous avons nos jeunes espoirs : à Mennecy, c’est Jean-Philippe, le fils Dugoin qui prend la succession de Xavier à la tête de la mairie.

 

A Corbeil-Essonnes, c’est à l’urbanisme que le flambeau se transmet de père en fils.

 

Là est la vraie façon de gouverner à droite en balayant d’un revers de la main les valeurs fondamentales de justice, d’équité.

 

Ces jeunes espoirs nous répondrons qu’ils sont « victimes de porter le même nom que leur père », que les accusations de népotisme sont infondées, qu’ils ont évidemment les compétences pour briguer les postes politiques et que toute ressemblance

avec  leur géniteur serait une pure coïncidence.

 

 

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 08:44

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Suppression des bus à Montconseil : quand la droite méprise les habitants !

 

Dans tous les quartiers, des bâtiments sont construits, des espaces sont aménagés. Il était temps, vu l’état de l’habitat collectif sur notre ville. Le quartier de Montconseil n’échappe pas à la règle, mais sa rénovation se fait en dépit du bon sens.

 

La municipalité de droite a décidé, sans concertation et sans se soucier des habitants, de supprimer purement et simplement les trois arrêts de bus qui desservent depuis des années le quartier.

 

Voilà donc bientôt 8 mois, oui 8 mois, que les habitants n’en peuvent plus : après avoir évité de se tordre la cheville en tombant dans un trou, après avoir poussé péniblement la poussette dont les roues s’enlisent dans la boue, après avoir tiré énergiquement son caddie coincé par les bosses qui jalonnent la rue, le parcours du combattant n’est pas encore fini, il faut encore remonter la côte pour attraper un bus…enfin si vous arrivez à repérer où se trouve l’arrêt de bus !

 

C’est insupportable. Nous, les socialistes nous avons interpellé  J.P.Bechter. Mais il n’a  même pas daigné s’expliquer devant les habitants ! Non, il préfère s’adresser au Parisien en balayant d’un revers de la main les difficultés : « il faut bien que les travaux se fassent ».

Alors c’est comme ça que J.P.Bechter et son équipe considèrent les habitants ?

C’est donc comme ça qu’un Maire se soucie du quotidien des Corbeil-Essonnois?

Ce malheureux épisode témoigne, une fois de plus, du mépris pour les habitants de nos quartiers.

 

Cela n’a que trop duré !

 

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Des postes en moins dans l’Education nationale ? Pas un problème pour J.P.Bechter.

 

Non content d’avoir rogné les effectifs depuis son accession au pouvoir, la droite, sous la houlette de Nicolas Sarkozy, continue son entreprise de démolition en annonçant la suppression de postes supplémentaire !

Cette décision nationale à évidemment des conséquences locales. Qu’en est-il pour notre Département ? Et bien c’est simple : une coupe franche dans les effectifs de nos enseignants et ce, quel que soit le degré : probablement 120 postes dans les écoles maternelles et primaires et 493 dans les collèges et lycées.

Cela a des répercussions sur la qualité de l’enseignement : on parle parfois de plus de 35 élèves par classe…

Et face à cette menace, Jean-Pierre Bechter, notre Maire n’a eu d’autre réaction… que de ne pas réagir !

Peut-être a-t-il d’autres priorités, comme la sécurité, qu’il assure de manière convaincante, en témoigne les évènements qui ont eu lieu la semaine dernière (saccage de bureaux en Mairie, agents de police blessés) ?

Néanmoins, nous sommes en droit d’exiger de notre Maire qu’il se batte contre l’injustice qui touche la communauté éducative.

Nous, socialistes Corbeil-Essonnois, ne pouvons rester insensibles au démantèlement de notre système éducatif.

Monsieur le Maire, faites de même !

 

Rénovation Urbaine : aux antipodes de ce que vivent les habitants.

 

Nous aimons notre ville et ses quartiers ; que nos familles bénéficient d’un cadre de vie agréable, que nos enfants disposent d’équipements de qualité, que nos logements soient entretenus. Nous voulons nous y sentir bien.

Mais cette « revendication » n’est pas du tout entendue par J.P.Bechter qui continue son urbanisation incohérente.

 

Ce n’est pas le cortège de Ministres qui défilent dans nos quartiers, ni les sommes vertigineuses annoncées – 250 millions d’Euros– qui vont masquer les ratés de la rénovation.

 

J.P.Bechter et son prédécesseur S.Dassault se targuent de démolir 900 logements sur le quartier : à la bonne heure ! A peine un tiers de logements sociaux est reconstruit .

 

Un nouveau programme immobilier sort de terre : bravo ! Mais  les nouvelles constructions ne bénéficient même pas en priorité aux Corbeil-Essonnois.

 

Les anciens  logements sont enfin en cours de rénovation : applaudissons ! Mais à quel prix ?  Les hausses de loyers sont démesurées, tant pis pour les foyers à revenus modestes, les jeunes et les personnes âgées.

 

La Rénovation Urbaine, c’est mettre l’humain au centre de la rénovation : excellent ! Mais surtout ne consultons pas les habitants.

 

C’est le triste constat dans le quartier de Montconseil, on rénove sans prendre en compte les besoins quotidiens de la population.

Lorsque J.P.Bechter explique, à propos de la suppression des bus dans ce quartier, « qu’il faut bien que les travaux se fassent », on comprend vite que cet homme ne sait pas de quoi il parle. Durant la durée des travaux, la vie des habitants doit être mise en stand by ?

Oui, nous voulons que Montconseil soit rénové mais pas au détriment de la vie des personnes qui y résident.

Oui, concilier rénovation et respect des habitants, c’est possible !

 

 

 

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 14:48

Journal n°2.2

 

 

La droite annonce la fin des fonctionnaires.

 

Dans une interview donnée le 7 janvier à Acteurs publics, Christian Jacob, le Chef des députés UMP à l’Assemblée nationale, annonce « qu’il ne faut pas s’interdire de réfléchir à la pertinence de l’embauche à vie des fonctionnaires ».

Les fonctionnaires, voilà pourtant un sujet qu’il connaît bien pour avoir été lui-même Ministre de la Fonction publique de 2005 à 2007.

 

Bien sur, C.Jacob oublie d’en parler aux principaux intéressés : à peine 5,3 millions de fonctionnaires sont concernés.

Il oublie aussi d’en parler aux organisations syndicales : une broutille, il abordera la question plus tard.

Evidemment, il oublie de rappeler que dans le secteur public, l’emploi à vie n’est déjà plus une garantie pour tous depuis longtemps : l’emploi précaire touche des centaines de milliers d’agents.

 

Mais au fait qu’en pense notre Ministre de la Fonction publique, Georges Tron ?

Vous connaissez certainement Georges Tron, Député de l’Essonne, patron de l’UMP en Essonne, celui qui désigne les candidats UMP pour les cantonales et les sénatoriales ?

 

Promis, il l’a dit, sur Europe1, ce même 7 janvier « le gouvernement et moi – G.Tron - sommes attachés au statut de la fonction publique ».

Ouf on est rassuré ! On a cru à un moment que le blocage des salaires des fonctionnaires depuis des années c’était pour de vrai, on a cru que les suppressions d’emploi dans l’enseignement, les hôpitaux, la police c’était pour de vrai, on a cru que les  900 000 CDD dans la fonction publique c’était  pour de vrai ! 

 

On sait tout le bien que la droite voue aux fonctionnaires : qu’il s’agisse de « dégraissage en masse »ou de « nécessaire réduction ». Messieurs, n’oubliez pas qu’être fonctionnaire c’est avant tout faire le choix d’être au service du public. C’est dédier sa vie à ses concitoyens, c’est les accompagner pour résoudre leurs problèmes, en échange de carrières qui souvent progressent lentement voire pas du tout.

 

 

Cabinet de J.P.Bechter : petits arrangements entre amis…

 

Pendant la campagne, J.F. Bayle, éternel adjoint de S.Dassault avait été particulièrement dur avec ses anciens amis. Il parlait même de « bilan nul » pour le développement durable.

 

On se demandait bien ce qu’il avait négocié pour revenir au bercail. Etre adjoint évidemment…retourner au SIARCE pour y retrouver son ami X.Dugoin aussi mais pas seulement.

 

Il a fait embaucher Emmanuel Broz, amateur de cigares dont nous reparlerons très bientôt. Pour information, nous pouvons déjà vous dire que le dénommé Broz a été, durant tout un mandat,  l’artisan de la déstabilisation de la commune de Vert-Le-Grand, sur fond d’affaires de déchets…

 

Emmanuel Broz retrouvera au cabinet de J.P. Bechter d’autres recasés. Ainsi, J.Guisti, Conseiller municipal du 2ème mandat de S.Dassault côtoie maintenant B.Sissoko, éphémère adjointe à la culture qui a elle aussi été remerciée de ses bons et loyaux services durant le mandat précédent…

Il ne manque plus que le retour d’un autre éphémère membre de cabinet, proche, très proche quant à lui d’un actuel adjoint…suite au prochain épisode.

 

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 23:57

Journal n°2.1 

 

Les socialistes soutiennent les agents municipaux.

 

Vendredi dernier, le 14 janvier, s’est déroulé un évènement inédit dans la vie de notre commune : une vingtaine de jeunes ont investi le centre administratif, un certain nombre était, semble-t-il, en CAE (Contrat d’Accompagnement dans l’Emploi) au sein de notre municipalité.

Ils ont saccagé le bureau du Directeur Général des Services et apeuré bon nombre d’agents présents.

 

Au-delà des faits dramatiques pour l’image de notre commune et condamnables, du fait de la violence des comportements mis en cause, il est primordial de prendre de la hauteur et de s’interroger sur le contexte global en vigueur à Corbeil-Essonnes et sur la gestion qui est faite de la ville et de ses administrés par le Maire et ses conseillers.

 

Les CAE sont des contrats spécifiques, permettant à des jeunes de s’insérer progressivement sur le marché du travail. Ils constituent donc une passerelle vers l’emploi d’une importance certaine quand on sait que plus de 20% de nos jeunes sont au chômage.

 

Mais Corbeil-Essonnes est définitivement une ville à part. Ici, on utilise l’emploi comme une carotte dont le seul objectif est électoraliste.

Exit donc la volonté de mettre en place une politique de l’emploi pertinente et au service de la population : ici règne la pratique du clientélisme par tous les moyens. Tant qu’on y est, pourquoi ne pas proposer une exonération d’impôt en échange d’un vote ??

 

Il est temps que cela change. On ne résoudra pas les problèmes de notre ville en promettant n’importe quoi à l’occasion de chaque élection. On n’aidera pas les jeunes tant qu’on ne leur permettra pas de réussir par eux-mêmes.

Les socialistes et leurs élus sont solidaires des agents municipaux et demandent qu’un point précis soit réalisé dès le prochain Conseil Municipal.

 

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 22:23

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Journal n°1-2

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